[V.F] Palatine/St-Augusta

Le Princess Augusta est parfois dénommée The Palatine à cause d’un poème de John G. Whittier, qui a réécrit les mythes du célèbre bateau, mais aussi à cause de la provenance de celle-ci Palantina. Ce bateau eu l’opportunité de faire deux voyages avant de couler en 1738 près de Block Island, dans le Rhodes Island, aux États-unis. Partant de la Hollande, à Rotterdam, un nombre impressionnant de passager se dirigeait vers la Pennsylvanie pour rejoindre la Communauté Religieuse de l’Ephrata Cloister, qui offrait des cours en Allemand et qui attirait alors une clientèle plus Européenne. Par ailleurs, cette communauté était perçue comme potentiellement dangereuse, parce que le « monastère » possédait beaucoup de culte qui se rapprocherait de la sorcellerie.

Bien que le premier voyage soit éprouvant pour tous, le deuxième voyage du bateau le sera encore plus. En 1738, le Princess Augusta, quitte la ville de Rotterdam en direction de la Philadelphie, avec cette fois 400 passagers -appeler aussi Palatins-. Pendant les premières semaines de voyages, un tonneau qui contenait de l’eau souillée, empoisonna les membres de l’équipage qui sombrait un à un dans une grande fièvre, même le Capitaine ne survit pas. C’est alors que le bateau prit Andrew Brook, un jeune Capitaine inexpérimenté, qui doit désormais faire parvenir le bateau à sa destination. Le bateau semble devenir maudit au fil des jours : Il dévie de sa trajectoire et se perd en mer, l’équipe n’en peux plus et commence même a se battre avec les passagers. Lorsque le bateau arrive enfin à atteindre New York (Maintenant en pleins mois de décembre), il tente alors en vains de sortir du groupes d’îles sur son passage – Rhodes Island, Block Island et Long Island-. On raconte alors qu’à la hauteur de Block Island, une planche de neuf pieds sous le navire se brise et le bateau commence lentement à couler. Le Capitaine, qui a alors ordonner de quitter le navire, faut plonger dans l’eau glacée tout son équipage et les passagers durant une tempête de neige. Seul 115 passagers survivront à atteindre la côte, mais 25 de ses passagers mourront d’Hypothermie. Une plaque à été installer à la mémoire des passagers sur le bord de l’eau.

On raconte que le bateau hante encore les eux qui séparent les trois îles américaines. Parfois, entre Noël et le jours de l’an, - ou encore avant une grande tempête de neige-, certains auraient aperçu le navire en flamme, naviguant sur les eaux. D’autres habitants auraient vu de drôle de lumière sur la mer qu’ils auraient appelé « Palatine Light » (Les Lumière de Palatine). Le Cri d’une femme pourrait aussi être entendue elle avait été oubliée sur le navire et, lors du naufrage, on entendit longtemps ses cris tandis que les flammes engloutissaient le bateau.

Il y aurait deux versions populaires de ce qui se serait réellement passer pour que le vaisseau échoue. Soit le Capitaine était un homme de méchanceté, que les matelot se battaient entre eux et que lorsque le navire s’échouait, ce sont les îliens qui seraient venu au secours des naufrager. D’un autre côté, on attend aussi que les îliens auraient eue peur d’une attaque marine et ils auraient eux-mêmes fait crouler dans la mer le bateau et qu’ainsi, pour se venger, le bateau prend une forme fantomatique et revient sur les eaux, en flammes.

Sources
Wikipédia
JOLICOEUR Catherine, LE VAISSEAU FANTOME LEGENDE ETIOLOGIQUE, Editions Presses Université Laval.